L’utopie des arbres

Dans L’utopie des arbres, l’exercice théâtral est permanent, sans artifice. Le comédien est seul en scène, pieds nus, vêtu d’une simple salopette et d’un marcel.

Un corps, une voix. Pour faire naître des personnages aux humeurs riches et variées : le rude maître ébéniste, les grincheux, sévères et généreux à la fois, l’Augusta irascible et médisante, l’enfant que fût Alexis et enfin l’homme qu’il est aujourd’hui.

La forme est dépouillée. Seuls accessoires : un balai et de la sciure avec lesquels le comédien compose son espace scénique.

Le travail de lumière finit d’habiller subtilement ce moment de théâtre simple et authentique qui évoque le doute et l’espoir, l’amour des arbres, et la tendresse d’un môme pour ces vieux Grincheux qui lui ont tant apporté.

« L’Utopie des arbres, touche les publics en plein cœur par le niveau de talent de son auteur-comédien. » Scène web